coronavirus

Matchs sur terrains neutres: le retour du syndrome supporters
Sur le plan sportif, la conséquence première de la terrible pandémie actuelle se trouve bien évidemment être l’arrêt de tous les championnats anglais. Mais cette période inédite a aussi faire resurgir la vieille antienne des années 80 sur le peuple des tribunes. La volonté d’organiser certains matches sur terrains neutres n’est rien d’autre, en effet, que le fruit du cliché recyclé sur les supporters, maux de la société. Portés au piloris sur leur incapacité présumée à respecter les règles de distanciation sociale autour des stades, il n’y aurait donc d’autre solution que de délocaliser certaines rencontres. Retour et analyse de cette séquence tristement révélatrice.

Juin 1947, Stoke City et le bourbier de Bramall Lane
La décision entérinée de la Premier League de redémarrer la compétition, suite à son arrêt en raison de la pandémie de Covid-19, ne peut se faire sans un regard vers l’histoire. Depuis 1947, le mois de juin n’a plus accueilli de rencontre de championnat. Une saison au sortir de la Seconde Guerre mondiale à l’issue dramatique pour Stoke City, le club du Staffordshire n’ayant jamais été aussi près de décrocher le Graal. Retour vers un pan de l’histoire du football anglais.

Premier League, une reprise au goût doux-amer
Loin des préoccupations sanitaires des nations européennes, ou des luttes de basse-cour dans le football hexagonal, la saison de Premier League reprendra officiellement ce mercredi, à l’instar des championnats allemand, espagnol et italien. Retour sur les enjeux de cette décision au pays du beautiful game.

Au stade – On était au dernier match Britannique pré-Covid !
Récit d’une escapade dans le Yorkshire, à l’aube du Covid.

Liverpool, dans la tourmente du football business-populaire
Décidément, la fin de saison sera mouvementée pour le Liverpool Football Club. Au delà de la possible suspension définitive du championnat, les dirigeants du Fenway Sport Group ont eu recours à l’allocation au chômage partiel prévue par le gouvernement pour payer leurs employés. Une décision qui passe mal auprès des supporters, et qui est loin d’être la première bourde du consortium.